LES ORIGINES DE L'HOMME
Trouver l'origine ou les origines de la civilisation est exactement comme la quête du Graal, chaque piste donne une réponse et chaque réponse ouvre une autre piste.
Pour trouver des réponses aux questions que beaucoup se posent sur l'origine humaine ou sur une ''super civilisation'' avant la préhistoire, beaucoup de théories ont été développées, des plus loufoques aux plus scientifiques. La piste longtemps suivie est celle du continent Antarctique puisque c'est le seul à ce jour encore inexploré, du moins sous sa couche de glace. Cette théorie est celle de Charles HAPGOOD et reprise par Graham HANCOCK.
Si l'idée est séduisante, en reprenant les cartes de SCOTESE, nous nous rendons compte que ce n'est pas possible, la date où la vie aurait pu être possible est trop éloignée de nous. La chronologie est la suivante :
- fin du Protérozoïque (-650Ma) L'Antarctique commence à se dessiner et se situe au niveau de l'équateur.
- fin du Cambrien (-514Ma) L'antarctique descend sous l'équateur et le continent GONDWANA est constitué en partie avec ce que seront plus tard l'Australie, l'Antarctique, l'Inde, l'Arabie, l'Afrique et l'Amérique du Sud.
- milieu du Dévonien (-390Ma) La PANGEE émerge de l'océan sur l'hémisphère nord au dessus du continent Gonwana.
- fin du Carbonifère (-306Ma) La Pangée est maintenant reliée au continent Gondwana et la partie correspondant à l'Antarctique se retrouve près du Pôle Sud.
- fin du Permien (-250Ma) L'Antarctique est encore soudé au Gondwana mais prend sa place définitive au Pôle Sud.
La logique voudrait, si nous suivons cette hypothèse, que l'homme intelligent (homo sapiens sapiens) ait vu le jour et atteint sa pleine maturité inventive il y a 500 millions d'années. Ceci n'est pas possible car à cette époque nous voyons apparaitre seulement les premiers vertébrés. Si grande civilisation il y a eu, je pencherais plus vers -200.000 ans à -150.000 ans et ceci conforte les découvertes qui seront citées plus loin.
Toutes les découvertes archéologiques prouvent qu'une civilisation intelligente a existé à une époque où, d'après nos chers professeurs, l'homme n'en était qu'à l'âge de pierre c'est à dire qu'il était pratiquement nu, qu'il commençait à peine à fabriquer ses outils et vivait de cueillette et de chasse. Alors, comment se fait-il que nous retrouvions des vestiges remontant à plus de 30.000 ans et réalisé avec des techniques que nous sommes incapables de reproduuire au XXIè siècle ? D'autre part, ces vestiges apparaissent brusquement sur notre sol sans que nous ayons le moindre début d'évolution de la technologie employée. Posons nous la question suivante : est-il possible que l'homme de l'âge de pierre ait pu construire des monuments comme les pyramides de Gizeh en Egypte ou celle d'Amérique Centrale ou les gigantesques monuments de Yonaguni au Japon aujourd'hui sous la mer ?
Il faut se rendre à l'évidence, l'espèce humaine est bien plus ancienne que nous le pensons. La planète Terre a vu plusieurs civilisations dont certaines étaient très évoluées et qui ont malheureusement disparu à la suite de cataclysmes planétaires et ne laissant à chaque période que quelques survivants incapables de continuer l'évolution technologique brutalement stoppée. Nous nous trouvons alors avec une poignée d'érudits côtoyant une majorité d'hommes revenus à un stade primaire de la civilisation, ce qui est l'inverse de ce qui se passe aujourd'hui au XXIè siècle où la majorité de la population est civilisée et possède une technologie de pointe face à une minorité d'hommes vivant comme à l'âge de pierre, exemple : les aborigènes d'Australie, certaines peuplades d'Afrique et d'Amazonie.
Pour étayer ce qui a été dit, nous allons faire un tour dans le passé. Si on se réfère à l'histoire officielle, les dinosaures ont disparu à la fin du Jurassique il y a 70 millions d'années à peu près. Selon les savants, l'homme n'avait pas encore vu le jour. Comment expliquer dans ce cas, les pierres gravées trouvées au Pérou en 1966 par le Docteur CABRERA DARQUERA, professeur de biologie ? Sur ces pierres, on voit gravé des dinosaures côtoyant des êtres humains qui ne ressemblent pas du tout à Toumaï ou à Lucy et encore moins à Neanderthal mais à des hommes avec un physique moderne. Il y a près de 15.000 pierres répertoriées. Si nous trouvions ces pierres gravées uniquement au Pérou, on pourrait hurler à l'imposture (ce qui a été fait par quelques autorités scientifiques orthodoxes) mais nous en retrouvons partout dans le monde comme en France, en Amérique du Nord et en Australie où les aborigènes du Queensland racontent l'histoire de Yarru, un animal au long cou et muni de nageoires. Cela ressemble à un Plésiosaure. Le système digestif décrit laisse penser que cet animal a été chassé et dépecé (article du Los Angeles Herald-Examiner du 07-01-1970).
Nous avons donc la preuve que l'homme tel que nous sommes a bien vu le jour non pas il y a 30.000 ans comme on veut nous l'imposer mais il y a plus de 200.000 ans ou alors, les dinosaures étaient encore sur terre il y a moins de 30.000 ans. Erreurs volontaires ou omerta ? Nous en trouvons tout au long de l'histoire de l'humanité.
Tout ce que l'homme ne peut pas comprendre, il le classe dans la catégorie de l'imaginaire, du folklore mais jamais ou rarement dans une nouvelle possibilité de vérité. Est-ce leur qualité de ''savant'' qui leur donne autorité sur ce que nous devons savoir ou ne pas savoir ?
On retrouve en Amérique du Sud le même mystère en ce qui concerne l'outillage utilisé par des populations tout juste sorties de l'âge de pierre. Il a été retrouvé un crâne de cristal pur qui est pour les savants l'énigme du siècle.
En 1924, Anna Le Guillon Mitchell-Hedges a 17 ans lorsque avec son père adoptif, l'explorateur anglais Frédéric Albert Mitchell-Hedges, ils découvrent un crâne de cristal de roche dans les ruines d'un temple de la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize. En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction parfaite d'un crâne humain féminin. Il pèse 5kg et est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant parfaitement à la partie supérieure. Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes : éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites, frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense jaillit des orbites, du nez et de la bouche.
Certaine de son authenticité, Anna accepte de confier le crâne à une équipe de scientifiques spécialisés dans la cristallographie de la société Hewlet-Packard. Après six mois de tests, les conclusions tombent :
- il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo- électrique" anisotrope
- les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche
- aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque
- sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication (le cristal ne vieillit pas)
- avec une technologie moderne au diamant, il faudrait 1 an de travail pour obtenir l'aspect extérieur (avec des traces d'usinage), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile
- la fabrication manuelle demanderait 300 années de labeur continu
Nous nous retrouvons face à une technologie qui remonte bien avant 5 ou 6.000 ans. C'est tout un savoir qui a disparu avec les différentes catastrophes que la terre a subit. Il n'est resté que la croyance et quelques bribes de savoir.
En 1938, un archéologue autrichien, le Dr. Wilhelm KÖNIG, s'est penché sur un "objet culturel" reposant au fond d'une cave du musée de Bagdad. Il s'agit d'un petit vase en terre cuite de 15cm de haut sur environ 7.5cm de diamètre. Emergeant du bouchon bitumeux, une tige en fer est insérée à l'intérieur d'un cylindre en cuivre et isolée de celui-ci à la base par un tampon en bitume. Le cylindre étant soudé avec son capuchon par un alliage plomb/étain.
Plusieurs de ces piles ont été retrouvées dans les ruines de Khujut Rabu, ville Parthe aux alentours de Bagdad. Les Parthes, farouches guerriers, ont dominé la région entre 250 av J.C. et 230 de notre ère. Dix autres piles furent découvertes plus tard à Ctesiphon. Le cuivre porte une patine bleue caractéristique de la galvanoplastie à l'argent.
On pense qu'elles sont beaucoup plus anciennes car on a retrouvé au même endroit des vases en cuivre plaqués en argent dans un site sumérien vieux d'au moins 2.500 ans av J.C. Différents spécialistes ont reproduit la pile en utilisant du jus de raisin comme électrolyte et ont effectivement obtenu un courant électrique, selon les expérimentateurs, entre 0.5 et 1.5 volts.
Ce sont bien les restes d'un savoir passé, un savoir remontant à plusieurs millénaires que l'on redécouvre petit à petit. On nous a caché et on nous cache encore la vérité pour ne pas remettre en question tout ce que l'on nous a inculqué et aussi pour rester dans le droit fil des religions qui, depuis le début maintiennent le flou à leur avantage.
Ces preuves démontrent bien que l'homme tel que nous sommes existe depuis près de 200.000 ans sinon plus.
Pour étayer ce qui a été dit plus haut, si nous lisons l'Ancien Testament, il est utilisé le mot "NEPHILIM" (Genèse 6) pour désigner les "géants" (version française) mais en hébreu, Nephilim est issu du verbe "NaFol" qui veut dire : chuter, tomber.
La traduction faite lors de la rédaction de l'Ancien Testament est donc fausse mais fausse volontairement pour justifier ce que seront les "Anges déchus" (on revient bien sur : chuter, tomber), ceux qui trouvèrent sur terre les femmmes belles et leur firent des enfants. (Genèse 6 /1-3)
Ces enfants nés de pères Nephilim seront appelés "Demi-Dieux". Le texte hébreu, lui, parle des fils des "Elohim" qui est un pluriel et il est employé l'expression : Bnei Ha-Elohim qui veut dire : nobles.
Il est dit plus loin que "les filles étaient bonnes" (traduction française) mais en hébreu, il est écrit "Tovoth" qui se traduit par : compatible.
On retrouve là une preuve que sur notre planète il y avait bien plusieurs espèces, que des "essais" ont été tentés afin de multiplier une espèce sur le déclin démographique. D'après les Textes, ce mélange d'espèces a été réalisé bien avant le Déluge c'est à dire il y a plus de 200.000 ans époque où se côtoyaient les hommes de Cro-Magnon, de Néanderthal et d'autres espèces disparues aujourd'hui.
Les tablettes sumériennes ainsi que la liste de Manethon concernant la lignée royale égyptienne avant le premier pharaon, font remonter l'être humain et la civilisation à plus de 400.000 ans.
Cette première espèce "humaine" a été assimilée à des dieux par les peuplades génétiquement inférieures. Si cette première espèce a été assimilée aux dieux, c'est grâce à leur code génétique qui leur permettait une extraordinaire longévité mais en aucun cas à l'immortalité.
Les progénitures des femelles homo-sapiens-sapiens (compatibles) seront appelées Demi-Dieux mais n'auront pas cette super longévité qu'avaient leurs pères (fusse volontaire ou accidentel lors des manipulations génétiques ?) Comme exemple, nous avons Gilgamesh qui fut un Demi-Dieu, qui passa une partie de sa vie à rechercher l'immortalité et nous avons aussi Adam, le premier "métissé" qui n'aura pas la longévité de son père ou créateur.
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