CROMAGNON

 
Cohabitant sur ses 5.000 dernières années, nous trouvons l’homme de CRO MAGNON.
                                                         
Cro-Magnon
 
L’homme moderne, l’Homo Sapiens Sapiens est apparu aux alentours de 100.000 ans av. J.C. Issu de cet homme moderne, 5.000 ans avant que l’homme de Neandertal disparaisse, notre plus proche ancêtre fit son apparition : l’homme de Cro Magnon. On relève des traces de sa présence sur tous les continents. Cet homme ne se distingue de l’être actuel que par sa taille un peu moins élevée et par son menton allongé. Sa capacité crânienne, sa mâchoire et sa dentition lui sont largement apparentées.
 
On les appelle hommes de Cro Magnon car c’est au lieu dit CRO MAGNON, près des EYZIES,  en Dordogne, que cinq squelettes mis au jour en 1868 ont permis de définir ce type humain.
 
Il y a environ 35.000 ans, l’homme de Cro Magnon a vécu en parallèle avec l’homme de Neandertal pendant quelque 5.000 ans. Ces nouveaux venus sont originaires du proche-orient. Cro Magnon vivait principalement en Europe.
 
Nous avons appris que l’homme de Neandertal ne pouvait pas procréer avec la version féminine de Cro Magnon et inversement. Neandertal qui est le plus ancien, a disparu pour cause de dépeuplement. Plus de morts que de naissances. Morts dues à la non adaptation des changements climatiques ou et dues à des maladies apportées par les nouveaux arrivants : Cro Magnon.
 
Il y a une grande différence entre le crâne de Neandertal et celui de Cro Magnon
 
D’après le C.I.R.S. : l’homme moderne et l’homme de Neandertal seraient deux espèces distinctes, suivant une étude mathématique basée sur des données relatives aux crânes d’hommes modernes, d’hommes de Neandertal et d’un large échantillon de primates non humains existant actuellement.
 
Il y a cinq ans, une analyse de l’A.D.N. d’un homme de Neandertal avait permis de conclure que celui-ci était trop distinct du nôtre pour que l’on puisse le qualifier de « cousin ». Une nouvelle analyse de l’A.D.N. d’un autre homme de Neandertal confirme qu’il n’est pas de notre famille. Le britannique William GOODWIN, co-auteur d’une étude à partir des restes d’un individu mort dans le Caucase il y a 29.000 ans, conclut qu’il n’existe aucune preuve de la transmission d’un bagage génétique des Néandertaliens aux Homo Sapiens.
 
On peut donc en déduire le raisonnement suivant : l’homme de Neandertal, créature bipède, pensante, enterrant ses morts, créant des outils et des armes, est la créature se rapprochant le plus de l’homme moderne en étant la plus ancienne (on pense près de 150.000 ans) et génétiquement différente pour s’éteindre définitivement il y a 30.000 à 35.000 ans.
 
Sa disparition n’est pas le fait du hasard. Le ou les brusques changements climatiques n’y sont pour rien. En minimum 150.000 ans, il a traversé les millénaires avec succès. Bouleversements géologiques et cataclysmes effroyables. Non, c’est autre chose et les deux thèses les plus probables sont la contamination virale par une autre espèce (homme de Cro-Magnon ?) ou l’élimination physique par une autre espèce qui serait l’homme moderne. Et pourquoi pas les deux ?
 
D’après les savants du monde entier, il y a incompatibilité génétique entre l’homme de Neandertal et l’homme de Cro Magnon. Les deux espèces ne pouvaient pas se reproduire entre elles. La sélection naturelle a rempli son rôle en éliminant l’espèce la plus fragile, la moins intelligente, la moins adaptée aux nouvelles conditions climatiques et environnementales. L’espèce la plus robuste et la plus intelligente a survécu.
 
Il aura fallu presque 7 millions d’années pour que l’évolution naturelle fasse de Toumaï un bipède évolué appelé Cro Magnon si nous suivons la théorie de Darwin.
 
Entre l’homme de Cro Magnon et l’homme moderne tel que nous le connaissons, c’est à dire nous-même, l’espace temps est à peine de 20.000 ans. Ce qui veut dire que Madame Nature a mis à peine 10.000 ans pour « transformer » ou « améliorer » de façon assez extraordinaire le bipède appelé Cro Magnon en un homme moderne et intelligent comme celui qui a construit en Egypte et en Amérique ces extraordinaires pyramides. Il faut noter au passage que depuis plus de 10.000 ans, physiquement, l’homme n’a pas évolué.
 
Avec la découverte de Toumaï, âge présumé 7 millions d’années, on pense avoir trouvé en ce grand singe l’ancêtre possible de l’homme comme avec Lucy âgée de près de 3 millions d’années (toujours selon la théorie Darwinienne).
 
D'après les paléoantropologues, l'origine des hominidés se situerait en Afrique. Sur ce point, je suis d'accord mais uniquement en ce qui concerne la lignée Toumaï-Néandertal c'est à dire l'origine simiesque. Pour ce qui est de l'homme moderne, nous savons qu'il est arrivé en Europe il y a plus de 35.000 ans en provenance de l'Asie. Là, nous nous trouvons face à un problème de taille à savoir : nous n'avons rien sur cet homme, aucune trace remontant à plus de 35.000 ans permettant de remonter sa "généalogie". Comme il n'a rien de commun avec l'homme de Néandertal, il n'a quand même pas pu sortir brusquement du néant en ayant le physique moderne, la bipédie parfaite, la créativité que nous lui connaissons etc... Alors, d'où vient-il ??
 
Nous l’avons vu plus haut, pour que l’évolution se fasse, il faut des unions, des mélanges. Dans la « soupe primitive », nous avons la formation des premières molécules organiques : les acides aminés, oses, acides gras, thiœsters, les bases puriques puis certains nucléotides. Les dépôts de molécules organiques sur les fonds marins et lacustres, ont formé une couche épaisse où les interactions chimiques entre les molécules ont permis l’apparition de nouvelles espèces moléculaires. Certains peptides ont ainsi pu se former par l’assemblage de quelques acides aminés entre eux : apparition de l’A.R.N. primitif.
 
Nous avons donc la preuve que pour « évoluer » il faut obligatoirement mélanger. Un exemple tout bête : une mayonnaise ne sera jamais une mayonnaise si on ne mélange pas des œufs avec de l’huile.
 
Il aura fallu des milliards d’années pour que les différents mélanges aboutissent à Toumaï et à Lucy.
 
La soupe primitive est l’origine de la vie sur terre, mais quelle vie ? Une vie résumée à quelques peptides qui sans apports nouveaux seraient encore aujourd’hui à l’état de peptides. Les organismes nouveaux qui ont permis l’évolution continuent toujours d’arriver sur terre. Notre planète est bombardée continuellement, et cela, depuis sa création. Elle est bombardée par de la matière provenant de l’espace. Les météorites, petites ou grosses qui ont percuté notre globe et qui le percutent encore maintenant, sont chargées de micro-organismes. Ces micro-organismes « non terrestres » puisque n’ayant pas vu le jour sur terre, vont se mélanger et créer de nouvelles espèces. Tout cela demande du temps, non pas 7 jours mais des milliards d’années.
 
 
Ces primates (nous en faisons partie) auraient donc mis dans un premier temps 200 millions d’années pour se créer et comme par enchantement, après leur complète disparition, ils ne mettront qu’à peine 50 millions d’années pour être non pas comme au départ une ébauche de primate mais un primate ‘évolué’.
 
Nos savants, qui sont des hommes très intelligents, ne voient pas ou ne veulent pas voir cette énorme anomalie. Des anomalies de ce genre, il y en a tout au long de l’Histoire que l’on veut essayer de nous faire croire. Pourquoi jeter un voile sur la réalité ? Est-ce par ignorance ou par souci religieux ?
 
Par ignorance, je ne pense pas. Je pencherais pour dissimulation et religion. La Vérité ferait-elle peur ou alors, la Vérité obligerait à reconsidérer tout ce que l’on a bien voulu nous inculquer depuis toujours ? Il y a un peu des deux.
Comme il a été dit plus haut, nous recevons en permanence des micro-organismes en provenance de l’espace non seulement proche, mais aussi au delà de notre galaxie, du plus profond de l’univers. En prenant pour première hypothèse que la vie n’existe pas uniquement sur notre terre, quand je parle de vie c’est sous forme microbienne, il est possible de comprendre l’arrivée de l’homme tel que nous sommes aujourd’hui.
 
 
 
     Ces micro-organismes, qui ont bombardé notre planète depuis sa création, ont développé indépendamment des autres espèces, le bipède que nous sommes. Ce bipède intelligent qu’est l’homme a su au fil des millénaires s’adapter, se préserver des attaques liées aux changements climatiques, aux bouleversements terrestres comme séismes, éruptions volcaniques etc… Il y a eu des pertes en vies humaines cela est sûr, comme aujourd’hui dans les pays à hauts risques sismiques ou sur des portions de terres balayées par les ouragans. L’évolution naturelle a fait de ces hommes, ayant pu voir le jour à la fin du Permien (-250millions d’années) une race unique sur un continent unique réunissant Pangée et Gondwana.  D’après le professeur F. CRICK, un des deux hommes à avoir étudié la « double hélice ».
     
ADN             
     
   La structure en spirale de l’A.D.N., une forme de vie primitive a été amenée sur terre provenant de l’espace. Idée défendue publiquement en 1973. F. CRICK nous dit que : a) le code génétique est identique chez tous les êtres vivants b) les organismes les plus anciens apparaissent subitement sans que l’on puisse déceler la trace de précurseurs plus simples sur terre. Avec ces théories qui se tiennent, l’homme que nous sommes aurait vu le jour sur la planète terre mais son évolution serait le résultat d’un apport extérieur, un apport extra planétaire. Si on reste dans cette logique, on est sur la génération spontanée. Cette hypothèse est balayée de suite car comme cela a été dit plus haut, le temps, même 100.000 ans est trop court. Pour accepter cette théorie, il faudrait accepter que l’homme intelligent et moderne a vu le jour il y a plus de 200 millions d’années. Malgré les catastrophes naturelles causant des millions de morts, une poignée d’humains aurait survécu. Civilisations anéanties, groupes de survivants éparses, ces rescapés de plusieurs « déluges » vont naturellement régresser et devoir tout réapprendre. L’homme de Cro Magnon dans ce cas pourrait être leur descendant. Voilà une raison supplémentaire qui confirme la nette différence entre Neandertal et Cro Magnon, l’incapacité de s’accoupler, de se mélanger avec Neandertal qui fait partie des grands singes.
Ma réflexion est la suivante : l'homme de Néandertal est issu de la famille des grands singes avec pour origine l'Afrique et l'homme de Cromagnon est issu d'Asie sans relations avec Néandertal donc avec le singe. La preuve est que du singe nous remontons à Néandertal mais nous n'avons rien sur l'origine de Cromagnon. On sait juste qu'ils ont vécu une partie de leur histoire ensemble.
      Malgré tout cela, la science avance et les découvertes se font de plus en plus nombreuses. Une théorie ancienne revient au goût du jour : celle d’une possible immigration.

Tous les savants s'accordent pour dire qu'il y a plus de 100.000 ans notre planète était peuplée par des êtres bipèdes et qu'ils ont "disparu". Il ne faut pas oublier que tous ces êtres étaient des primates et que tous n'ont pas disparu. Nous avons l'évolution normale des ces hominidés avec leur déclin mais ce que nous n'avons pas c'est l'ébauche de l'homme moderne. Rien n'a été retrouvé prouvant l'amorce de l'homme moderne. L'homme moderne n'est pas arrivé sur notre planète uniquement par l'opération du Saint Esprit. Dans ce domaine, il n'y a pas de génération spontanée.

 

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